40 ans & Après .....

40 ans & Après .....

40 ans & les enfants

 

Certaines dentes nopus decident de devenir mamn à 40 ans, d'autres le sont déjà depuis plusieurs années. Ce choix est-il le votre ou est-ce la vie quif ait que vous avez attendu cet âge là !

Est-ce toujours facile de gérer la quarantaine et un bébé ou un ados ? On rencontre des problèmes avec nos enfants, mais nous avons aussi des joies à partager et des moments privilégiés.

Alors peut-être que certaines pourront en conseiller d'autres fassent aux difficultées rencontrer avec nos enfants.


Marié son enfant

En mai 2014, pour la fête des mères, mon fils m'annonçait qu'il se mariait durant l'été 2015.

J'étais encore bien loin de réaliser toute l'émotion que nous allions partager ce jour là

En tout cas, ce jour me paraissait tellement loin que je crois que je n'imaginais pas vraiment encore ce qu'il allait représenter.

 

Je lui aie donc proposer à ce moment là de venir en ville avec moi choisir son costume, que je le lui paierai.

Pour le reste au niveau de la participation les choses se sont faites au fil des jours et selon les possibilités de chacun.

Les jours ont défilés à grands pas, comme toujours 18 mois c'est loin et tout près à la fois.

Le temps a passer vitesse grand V pour chacun d'entre nous a réfléchir et se demander quelle tenue j'allais porter.

 

On me disait "tu n'es pas la mariée" alors ce n'est pas grave !

Non, je ne suis pas la mariée effectivement mais la maman du marié et donc je me dois d'être à la hauteur de mes enfants.

Il ne faut rien négliger du tout. J'ai penser à tout et j'avoue que j'étais fière de ce grand moment de partage.

 

J'ai commencer par aller chercher une tenue en ville 1 mois et 1/2 avant le jour j

Il ni avait aucune vraie raison d'y aller beaucoup plus tôt.

Puis j'ai chercher une paire de chaussures qui soient habillées, à talon, chic et raffinés.

Jusque là, j'ai mis 2 demies journées pour avoir une tenue au complet.

 

Je suis allées une semaine avant chez le coiffeur, mèches et couleur ont été de rigueur.

Puis chez l’esthéticienne, soin du visage oblige la veille, pour un nettoyage en profondeur et nourrir ma peau sèche.

Le lendemain matin, je me suis faite faire les ongles à la perfection.

Puis la coiffeuse m'a coiffer et maquiller. Je n'ai jamais autant aimer ce que je reflétais dans le miroir.

 

106413132_m.jpg

 

Je me trouvais jolie depuis bien longtemps, parce que j'étais tout simplement Heureuse.

Le regard était pétillant d'amour pour mes enfants. Cette journée donnait une dimension différente à ma vie !

Je gagnais une belle-fille. Mon fils une épouse. Et ils 'étaient tellement heureux que ce bonheur se propageait jusque dans mes entrailles

Je ne pensais absolument pas que je vivrais le mariage de mon fils de cette façon là. Aussi intense !

 

Lorsque je suis arrivée à la mairie, mon fils venait d'y arriver. Il s'est habillé chez son témoin et la mariée chez ma fille.

Lorsqu’il est venu me dire bonjour, j'étais déjà très émue de le voir enfin dans son costume que nous avions choisit ensemble.

Le grand jour était enfin là. Ce moment pour lequel nous nous étions tous préparer pour être les "plus beaux" !

J'avais l'impression d'entendre son cœur battre la chamade lorsqu'il a vu sa dulcinée si belle dans sa jolie robe.

Mon fils devenait un "homme" devant moi. Je l'accompagnais jusqu'à celle pour qui son cœur battait et dont il avait demander en amriage 18 mois plus tôt.

Je n'ai rien contre ou pour le mariage, je ne me suis jamais demander si un jour il se marierai ou pas.

Ce n'était pas essentiel pour moi. Mais l'idée m'avait émue.

Concrétiser aux yeux de tous son amour, je trouve ça beau et romantique.

 

J'étais lorsqu'il a fallu que je lui mette sa boutonnière de rose blanche à la poche de son costume déjà toute tremblante d'émotion.

Bien entendu il s'en est rendu compte et amusé. Le grand moment de partage pour nous deux commençait !

Surtout ne pas pleuré, ne pas trébucher, ne pas tomber. Rester sure de soi, que personne ne se rende compte de ce stress de bonheur que je ressentais

On nous demande donc de rentré dans la mairie, tout les deux en premier, juste derrière tous les invités excités de nous regarder entrer.

Mon émotion vu mes yeux pétillants étaient déjà palpable, le photographe s'en amusait !

Ma fille qui avait parié déjà 10 fois que j'allais pleurer, ne me quittait pas des yeux, amusée de voir que je puisse avoir autant d'émotion et dont je n'allait pouvoir longtemps le cacher.

A la porte de la mairie, on stoppa notre avancé tout les deux, on étaient tellement heureux que l'on se prêtait au jeu.

Lorsque je déposais mon fils à sa place, je lui demandais de lui faire "mon bisou", le dernier en tant que célibataire,

Il me tendit la joue amusé, il savait que je lui demanderai. Je ne sais pas si il était fier mais il m'a tendu la joue avec plaisir.

Je lui aie fait mon bisou, comme si je ne pourrai peut-être plus jamais vraiment le choyer comme avant, lorsqu'il était petit.

 

La mariée est arrivée, splendide. Heureuse elle aussi, enfin le jour J était là.

Elle a beaucoup travailler pour organiser son mariage, a penser à tout pour que ce jour, soit leur plus beau jour.

Elle était magnifique mais elle est jolie. Elle est élégante, elle a une certaine classe innée.

 

La cérémonie a commencer et mon émotion est montée. Doucement mais par accoue !

Mais aucune larme n'a rouler sur mes joues.

Mais j'ai eu la sensation d'avoir mener mon fils au bout de sa vie de "jeune homme".

J'ai réaliser qu'il y a 28 ans, il était encore dans mon ventre, que je lui avais donner la vie, aimer, choyer, disputer pour l'aider à devenir l'homme qu'il était là devant toute cette assemblée qui venait l'accompagner dans son nouveau bonheur.

 

La journée, la soirée furent magnifique, magique.

On ressentait leur bonheur, tout au plus moi maman d'un de ces jeunes enfants que la vie unissait à jamais.

Tout était parfait ! Comment ne aps être fière de leur parcours respectif ?

Comment ne pas pleuré, ne pas avoir d'émotion, ne pas être heureuse pour eux ?

 

Le lendemain matin, lorsque je me suis tout à coup réveiller dans mon lit, je pleurais à chaude larmes.

Toutes mes émotions étaient là, elles ressortaient.

Le mariage était beau, il ni a pas eu de couac, pas de tracas, pas de faux pas.

Juste deux êtres heureux de partager leur amour avec nous tous autour d'eux que pour une seule et même chose, leur BONHEUR

 

3 jours après, les larmes ruisselaient encore sur mes joues de maman heureuse.

 

Je sais aujourd'hui qu'il faut vivre nos grands moments, ne pas avoir honte de nos émotions.

Tout le monde a vu que j'étais heureuse.

Mais ce qui est important c'est que mes enfants soient aussi heureux toute leur vie que ce jour J

 

Je n'ai pas la sensation d 'avoir perdu mon fils ou d'avoir une rivale en ma belle-fille.

Elle faisait déjà partie de ma maison. Dans mon cœur elle était déjà ma belle-fille

 

Voici le poème que je leur aie écrit sur leur carte de félicitations

 

Vous y voici, Le grand jour !

Ou vous unissez votre Amour

Ce pacte qui vous uni à jamais

Dans vos coeurs pour l'éternité

Je vous souhaite que vos regards pétillants

Vous ayez toute votre vie en vous levant

Que vos années futures soient magiques

Comme cette journée magnifique

Je vous aime très fort mes enfants

Dans mon cœur de maman

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


22/09/2015
0 Poster un commentaire

Le "Jeu du Foulard"

"Le Jeu du Foulard"

 

Dimanche, encore un enfant de 11 ans est mort en gironde retrouvé par son père pendu avec un tendeur au lit mezzanine de sa chambre dans la journée de samedi.

Le jeu du foulard, peut arriver à n'importe quel enfant, et à n'importe quel moment. Partout dans le monde, ce jeu existe et fait mourrir des enfants, le plus souvent dans les cours de récréations de nos écoles.

Cet expérience anodine peut avoir des conséquences très graves, pouvant aller de séquelles irréversibles jusqu'à la mort.

Le jeu du foulard est un étranglement volontaire fait seul ou à plusieurs, ou le seul objectif est de connaitre des sensations nouvelles et de vivre une nouvelle expérience.

Il ne s'agit ni d'un suicide, ni d'un comportement violent mais seulement d'un jeu très dangereux.

Il touche principalement les enfants et ados de 4 à 20 ans.

Le jeu du foulard s'apparente à une pratique innocente, souvent proposer par un copain ou un groupe  d'amis.

Le principe est simple. Il suffit de conjuguer plusieurs gestes :

1)  Une hyperventilation forcée obtenue par quelques flexions rapides des jambes et de grandes inspirations

2)  Puis un blocage de la respiration, assorti d'une pression sur les carotides, voire d'une forte compression du sternum.

Un évanouissement se produit, précédé de sensations de type hallucinatoire.

Une forme primaire de ce "jeu" est celui dit de "la tomate" dans lequel les enfants jouent à retenir leur respiration le plus longtemps possible, ce qui peut également provoquer une syncope.
Certains "pratiquants" deviennent dépendants.

Le danger est extrême : toute tentative, qu'elle soit effectuée en groupe ou en solitaire, peut entraîner des séquelles irréversibles et un arrêt cardiaque.


06/10/2009
0 Poster un commentaire

Ados & Textos

Les Textos et nos Ados

 

Les textos sont devenus incontournables à notre époque et pourtant, qui n'enoie pas un taxto apr jour ! Enfin beaucoup trop de textos souvent, tout le temps.

Nos ados sont nés avec un téléphone dans les mains ce n'ets pas possible ! Comment ne pas y trouve là une dépendance !

Cce moyen de communication est loin de n'avoir que des avantages, il estd evenu trop commun et trop indispensable à nos jeunes. Que ce soit en cours, en rendez vous chez le medecin ou dans les salles d'attentes, partout, on voit nos jeunes taper leurs textos tout en regardant ailleurs !

Pourtant, nos opérateurs font tout un marketing afin que nos ados puissent en envoyer encore plus chaques jours. Le nombre de textos envoyer par jour est inimaginable en france mais ils pourraient être une menace pour leur santé:

Selon un hôpital britannique, des cas de dépendance aux mini-messages seraient en train d'apparaître ! Pour les médecins chargés des addictions, certains usagers utilisent pendant plus de sept heures par jour la fonction SMS de leur mobile. Certains se retrouveraient même atteints de douleurs articulaires des doigts, qui permettraient de détecter le problème ! De nombreuses personnes développeraient ainsi des dépendances liées aux nouveaux modes de communication : Internet, jeux (surtout en réseau) et téléphone mobile en général

Certes, l'hôpital qui tire la sonnette d'alarme est spécialisé dans la prise en charge d'addictions : cet avertissement est peut-être avant tout un moyen de se faire de la publicité. Car une véritable addiction n'est pas un simple engouement passager pour une nouveauté ! Il arrive à tout le monde de faire des excès, sans que cela nécessite une prise en charge ! Globalement, une véritable dépendance implique le besoin de pratiquer très souvent, l'impossibilité de s'arrêter sans ressentir un manque, le fait de mentir pour assouvir son activité… Bref, il faut que l'addiction ait un retentissement important sur la vie quotidienne, un impact négatif sur la vie familiale ou professionnelle pour être qualifiée comme telle. Or peu de personnes sont accros aux textos à ce point !

Si vous êtes un accro du mobile et passez votre temps à envoyer des SMS, il est peut-être temps de reconsidérer votre relation avec votre téléphone. Et si vos enfants possèdent des portables, soyez vigilants ! L'utilisation de celui-ci ne doit pas se faire au détriment de leur sommeil, ou de leurs relations sociales et de leurs résultats scolaires !


16/09/2009
2 Poster un commentaire

Egoïste l'ados !!!!

                               Ados et l'égoïsme

 

« Partager ma barre de chocolat ? Roooo, c’est moi qui l’ai acheté et je vais pas la manger entièrement, alors qu’en plus, j’ai faim.» C’est une phrase typique quand on a une part d’égoïsme en soi. Mais où est la barrière entre le petit égoïsme, et l’énorme que personne ne peut supporter ?

Qui n'a jamais entendu son enfant, son neuveux ou son voisin avoir de telles répliques ? Comment agir face à cet égoïsme flagrant, comment faire de notre enfant, un enfant partageur !

L’égoïsme se définit par l’égo, qui veut dire « moi » en latin, ce qui annonce la couleur ! L’égoïste ne pense qu’à lui, et se désintéresse complètement des autres. Il veut faire son bonheur avant tout, parfois au détriment de celui des autres, et vit sa vie comme il l’entend.

Petit hic, c’est qu’être ami avec cette énergumène relève du challenge. Et oui, il ne nous écoute pas, il ne parle que de lui, et puis bon, c’est un petit peu ennuyeux de devoir être là pour quelqu’un quand il n’y a jamais de retour. Certes il est bon de savoir donner, mais c’est aussi fort agréable de recevoir. Mais avec lui, on n‘obtient que ni ni !
L’égoïste est à prêt à tout pour réussir, et n’hésite pas à se servir des autres quand ça l’arrange. Oups, ce schéma ne nous est pas inconnu. Qui n’a jamais parlé à une personne pour lui réclamer un petit gâteau, ou encore pour qu’il nous ramène d’une soirée ? Ha bah si, c’est vrai, l’égoïsme est présent chez tout le monde, mais à des degrés très différents.

Il y a l’égoïsme pur et dur, où la personne vit dans un monde fermé, et que seul son nombril est intéressant à ses yeux. C’est également cette catégorie de personnes qui répondent « ça dépend » à la question « tu peux me rendre un service ?», même si cela vient de leur meilleur ami.
Puis il y a ceux qui ont des réflexes un peu égoïstes, normaux puisque nous restons des êtres humains, avec des défauts. Par exemple, si le petit frérot nous demande de l’aider à faire un exercice de maths, alors qu’on a profondément envie de regarder les Frères Scott, on lui dira non. Ce n’est pas méchant en soi, mais ce n’est pas gentil. Sur ce coup là, on a pensé à notre petit confort plutôt qu’aux autres. Mais c’est humain, pas d’inquiétude à avoir si c’est le cas.

Le plus dur, c’est d’avouer ce vilain défaut. Jules Renard disait : « Il n'y a qu'une façon d'être un peu moins égoïste que les autres : c'est d'avouer son égoïsme. »
C’est déjà un grand pas d’en prendre conscience. Mais c’est encore mieux d’y remédier, quand on constate que les gens mettent de plus en plus de distance avec nous. Se mettre à la place des autres, et tenter de comprendre ce qu'ils ressentent, ce serait la cerise sur le gâteau. Leur faire plaisir par de petites attentions serait le summum !

La première chose, c’est de savoir partager. Si notre boisson fait envie à nos amis, autant leur proposer, plutôt que d’entendre un « oh la la qu’est ce que j’ai soif ! » de leur part.
On a tous besoin des autres, malgré ce que l’on pense. Pendant les cours pour rire, pendant un chagrin d’amour pour un soutien, pendant un moment de bonheur pour le partager. Se soucier des autres est une bonne solution à l’égoïsme, puisqu’il est son contraire. La générosité, donner, partager, s’inquiéter, tout ces sentiments et traits de caractères doivent faire partie de nous pour entretenir des relations approfondies avec nos amis.

Moralité : Savoir doser son égoïsme est essentiel à notre épanouissement. Il faut quand même penser un minimum à soi, tout en se souciant de l’avis et des opinions des autres.
Pas évident hein ?

Nos conseils :
- Faire un sport collectif, qui demandera d’avoir un esprit d’équipe.
- Eviter de tomber follement amoureux/se des personnes vraiment égoïstes.
- Faire attention, l’égoïsme lasse les autres, et tout le monde a besoin d’avoir un entourage très proche…
- Ne pas faire aux autres ce qu’on n’aimerait pas qu’on nous fasse.

Source Ados.fr

 

Tags


20/09/2009
0 Poster un commentaire

Les jeux en ligne

Nos Enfants & les jeux en Ligne

 

Il est difficile aujourd'hui, avec les nouvelles technologies de ne pas parler des "jeux en ligne sur PC de nos enfants. Ils sont capable d'y passer des heures, voire des journées entière en oubliant même de passer à table et de s'alimenter. Ils ont le nez pointer vers leur PC, ralent dès que ça ne va pas comme ils veulent mais ne nous entendent plus, ne nous voient plus.

Comment gérer le stress qu'ils y entretiennent sans un bon conflit à la clef ?

Comment réussir à trouver le moment ou ils vont nous voir et nous entendre afin qu'ils sortent de ce mutisme dans lequel ils entrent un peu plus à chaques seconde passer devant leur jeux ?

Et comment réagir lorsqu'ils décident de partir en LAN tout un week-end à l'autre bout de la France pour jouer ? Quel plaisir y prennent-ils vraiment ?

Moi, j'ai connu le problème avec mon fils mais j'avais toujours tort et je n'y comprenais rien. Quand on lui demandait de ne aps crier, avec son casque il ne t'entendait pas et c'est nous qui étions méchant...

Et vos enfants, comment réagissent-ils avec vous ? Comment gérer vous cette situation ou plus rien ne peut se faire avec eux ?

 


18/09/2009
0 Poster un commentaire