J'ai décidé de consommer autrement
J'en ai assez d'acheté tout et n'importe quoi sans réfléchir, comme si j'avais besoin de tout !
Assez que les montagnes de choses qui ne me servent à rien s'accumulent dans les placards et prennent la poussière pour rien !
Je ne suis pas matérialiste et pourtant nous avons des publicités partout pour consommer encore et encore !
Pourquoi dépenser autant d'argent or que je n'ai pas besoin de tout ce superflu pour me sentir bien ?
Je ne suis pas un gros budget et je peux vivre malgré tout avec ce que j'ai sans faire des montagnes d'achats coûteux qui ne servent pas.
J'ai donc décidé de consommer autrement.
Pour se faire, je réfléchie avant d'acheter. Je me demande d'abord :
En ai-je vraiment besoin ?
Est-ce que je n'en ai pas déjà un dans un placard ou à la cave ou dans le cellier ?
Est-ce que je ne peux pas le remplacer par autre chose à la maison ?
Vais-je m'en servir sur un long terme ?
Est-il important dans mon quotidien ?
N'est-il pas trop cher pour ce que c'est ?
Je me donne 48h pour avoir une vraie réflexion et ne pas faire un achat compulsif supplémentaire.
Donc je ni réfléchie même pas pour être honnête.
J'ai bien fait de réfléchir ainsi cela me permet de me détacher réellement de cet objet qui serait
surtout venu encombrer un espace pour rien.
J'ai décidé de ne plu commander via le net, c'est trop facile, hormis les croquettes et litières pour les animaux
et les dosettes génériques de cafés qui coûtent bien trop cher lorsque c'est de la marque que nous utilisons.
J'ai décidé de me débarrasser de ce qui encombre mon cellier ou ma cave.
Alors j'ai commencer un petit peu. Un début timide mais je me lance.
J'ai vraiment envie que ce qui ne me sert plus à moi, serve à d'autre.
Alors avec toutes les applications sur le net, il y a de quoi faire pour vendre à petit prix toutes ces choses
qui pour la plupart n'ont jamais servi.
J'ai décidé que j'allais y arriver car il faut se libéré l'esprit, c'est bien de désencombré son intérieur, cela
permet aussi de désencombré sa tête et de se sentir bien dans son espace vital.
Et vous comment faites-vous pour y arriver ?
Pour économiser ?
Vous êtes-vous remis en question, en prenant en considération ce NON besoin de consommer pour être heureux ?
Mon père m'a renié.....Enfin !
Voilà, nous y sommes après 47 ans de vie chaotique ou par deux fois il m’a abandonné à sa guise, nous savons enfin ou nous en sommes tous les deux.
Depuis le décès de ma mère il y a plus de quatre ans, il m’avait à nouveau abandonné et me téléphonait que très rarement. D’ailleurs, pour lui faire comprendre, plusieurs fois, je lui avais envoyé des photos ou des textos mais il ne me répondait jamais.
Je ne suis pas une enfant modèle mais comment ne pas en vouloir à ce père qui m’a abandonné dans le ventre de ma mère ?
Il n’a jamais véritablement eu une place de »père » dans son cœur pour moi et je l’ai payé au prix fort depuis ma conception.
Depuis que ma mère a été condamnée, j’ai eu beaucoup de crise de boulimie.
Mais depuis ce clash, je ne mange plus entre les repas. Comme si enfin j’étais libérée d’un poids au fond de moi.
Ma fille s’est mariée seule avec deux témoins pour éviter des frais car elle veut acheter avec son mari et ils préféraient être mariés. Elle a eu un bébé au mois d’octobre et son mari n’aime pas les grandes fêtes, donc c’était leur choix. Mon père a été bien plus vexée que moi, qui savais qu’elle voulait se mariée ainsi, elle le répétait sans cesse.
Alors un soir de décembre, elle me l’annonçât le soir même au téléphone.
Le 13 décembre, mon père me téléphone pour me poser une question sur il y a plus de 27 ans. Vu la tonalité de sa voix je lui dis gentiment que je ne veux pas me disputer avec lui, donc je ne lui réponds pas. Il reformule la question une seconde fois et lorsqu’il voit que je ne lui réponds pas me traite de « Petite conne » je lui demande de me respecter, il dit à nouveau « Tu es vraiment une petite conne » alors là, je lui ai demandé de me parler autrement.
Il me dit donc que de toute façon, il me renie et que je peux le rayer de ma vie, qu’il ne me donnerait plus de nouvelles et que je pouvais l’oublier.
Je lui ai demandé s’il croyait qu’il était un bon père ? Si il pensait que ça allait changer grand-chose à ma vie ? Puis QU’il m’avait abandonné deux fois, enfin la phrase était dite !
Je bataillais avec moi-même depuis des mois et des mois pour ne pas lui dire ce que je pensais de tout le mal qu’il m’avait fait, et là, il me donnait l’occasion de lui dire enfin ce qui me rongeait depuis Alors il a continué à me traiter de tout et je lui ai raccroché au nez.
J’ai supprimé son téléphone et celui de sa compagne.
Je tremblais de tous mes membres tellement la conversation avait été violente. Il l’a voulu ainsi, il m’a enfin dit tout haut ce que je savais au fond de moi depuis toujours en fait.
Depuis, j’ai repris un rendez-vous avec ma psychologue pour faire le point, elle qui m’avait toujours conseillée de lui écrire et de jeter la lettre, je l’avais écouté bon gré malgré.
Depuis je ne grignote plus les après-midi et je prends bien soin de moi.
Comme quoi, comment un père peut-il aimé un enfant qu’il a abandonné 47 ans plus tôt ? On ne peut aps aimé ce que l’on a pas connu, les personnes que l’on a refoulées. Comment peut-on abandonné un enfant ? Son enfant ?
Comme quoi, deux phrases ont suffi à me réconcilier avec la vie, avec ma vie. Il était grand temps !
autant d’années.
Abandonné par son papa
Une histoire vraie.......
Le médecin annonce à la femme allongée devant lui
-"vous êtes enceinte Madame", "si vous voulez il ne tient que par un fil"
La dame
- "Non Docteur, je vais le garder et je me débrouillerai pour l'élever"
Le sort de cet enfant à naitre est lancé. Il vivra si la vie veut de lui.
Lorsque le futur papa apprend la grossesse, il décide de partir.
Il ne veut pas de cet enfant, la maman ne saura jamais pourquoi puisque de toute façon, il ne verra jamais l'enfant même après sa naissance.
Elle se battra et élèvera tant bien que mal son enfant, elle le sait.
Elle sait aussi que se sera très difficile, en plus dans les années 70, être une mère célibataire est une honte sans nom !
Elle s'en fiche, elle aime déjà son enfant et elle sait qu'il passera avant elle, qu'il faudra beaucoup travailler mais elle sera là pour lui quoi qu'il arrive.
Toute sa vie durant, elle le chouchoutera avec ses moyens et son caractère, ses humeurs et son amour.
Elle a mis en oeuvre tout ce qu'elle a pu pour mener sa grossesse à terme et que son enfant voit le jour.
Lorsqu'elle a accouchée, c'était en septembre, en pleine nuit, un accouchement long mais enfin sa petite fille brune chevelu était là.
Elle n'avait plus qu'à l'aimer.
La belle soeur du papa lui rend visite et voit ce petit ange qui avait que quelques jours.
Elle avertit le papa qu'il a une petite fille magnifique qu'il devrait aller lui rendre visite.
Il n'ira pas. Il sera lâche. Il aime une autre femme et pourquoi viendrait-il entacher son bonheur pour un enfant qu'il n'a pas voulu ?
Pourquoi tournerait-il le dos à cet avenir ? Pour un simple enfant qui doit crier jour et nuit ?
Pour qui il n'a aucun sentiment ? Il préfère sa nouvelle compagne c'est bien plus facile et plus valorisant d'être aux bras d'une jeune femme que d'avoir un bébé qui braille dans les siens .......
Voilà comment un homme a courageusement abandonné son enfant qui venait de voir le jour.
Serait-il heureux sans papa ? Sans affection ? Sans l'équilibre qu'un papa et une maman peuvent apporter à son enfant ?
Ce n'était pas du tout son problème. Il avait 27 ans et toute la vie pour avoir un enfant mais pas celui ci !!!!!
Combien de père se soucis du bien-être de son enfant ? De son avenir, de l'aimer tout simplement ?
Et bien pas celui là. Lui il décide de son bonheur comme si son enfant avait demander à naitre et être aussitôt abandonné par celui qui l'a conçu ?
Il y en a des centaines, des milliers d'enfants qui grandissent sans père souvent comme pour cette enfant par pur égoïsme.
Comment peut-on décider d'abandonner un enfant comme ça, comme si il ne vous était rien ?
Sans mot dit, sans rien, sans amour, sans éducation, sans équilibre ?
Comment peut-on se retourner et vivre comme si de rien n'était, sans ne jamais le chercher, aller le voir, le prendre, lui essuyer ses larmes ?
Il y a des centaines et des milliers de pères qui estiment normal d'abandonné leur enfant.
Connaissez-vous, imaginez-vous simplement l'impact des blessures que votre enfant portera toute sa vie durant ?
Même si un jour il vous retrouve, même si un jour il vous pardonne, même si un jour il vous aime ?
Les blessures seront profondes, elles seront douloureuses toute sa vie durant.
Votre enfant devra porter ce fardeau toute sa vie comme une croix remplie d'épines.
A aucun moment de sa vie d'homme il pensera qu'il a détruit l'enfant qu'il a construit.
Qu'il a anéanti tous ses rêves d'enfants.
Qu'à aucun moment sa petite fille n'a rêver comme les autres de se mariée avec lui.
Et que même lorsqu'il lui a ouvert les bras, elle ne savait pas que toute sa vie,
Elle souffrirait autant qu'au début de sa vie.
L'abandon ne s'oublie jamais lorsqu'il vous a été destiné
Marié son enfant
En mai 2014, pour la fête des mères, mon fils m'annonçait qu'il se mariait durant l'été 2015.
J'étais encore bien loin de réaliser toute l'émotion que nous allions partager ce jour là
En tout cas, ce jour me paraissait tellement loin que je crois que je n'imaginais pas vraiment encore ce qu'il allait représenter.
Je lui aie donc proposer à ce moment là de venir en ville avec moi choisir son costume, que je le lui paierai.
Pour le reste au niveau de la participation les choses se sont faites au fil des jours et selon les possibilités de chacun.
Les jours ont défilés à grands pas, comme toujours 18 mois c'est loin et tout près à la fois.
Le temps a passer vitesse grand V pour chacun d'entre nous a réfléchir et se demander quelle tenue j'allais porter.
On me disait "tu n'es pas la mariée" alors ce n'est pas grave !
Non, je ne suis pas la mariée effectivement mais la maman du marié et donc je me dois d'être à la hauteur de mes enfants.
Il ne faut rien négliger du tout. J'ai penser à tout et j'avoue que j'étais fière de ce grand moment de partage.
J'ai commencer par aller chercher une tenue en ville 1 mois et 1/2 avant le jour j
Il ni avait aucune vraie raison d'y aller beaucoup plus tôt.
Puis j'ai chercher une paire de chaussures qui soient habillées, à talon, chic et raffinés.
Jusque là, j'ai mis 2 demies journées pour avoir une tenue au complet.
Je suis allées une semaine avant chez le coiffeur, mèches et couleur ont été de rigueur.
Puis chez l’esthéticienne, soin du visage oblige la veille, pour un nettoyage en profondeur et nourrir ma peau sèche.
Le lendemain matin, je me suis faite faire les ongles à la perfection.
Puis la coiffeuse m'a coiffer et maquiller. Je n'ai jamais autant aimer ce que je reflétais dans le miroir.
Je me trouvais jolie depuis bien longtemps, parce que j'étais tout simplement Heureuse.
Le regard était pétillant d'amour pour mes enfants. Cette journée donnait une dimension différente à ma vie !
Je gagnais une belle-fille. Mon fils une épouse. Et ils 'étaient tellement heureux que ce bonheur se propageait jusque dans mes entrailles
Je ne pensais absolument pas que je vivrais le mariage de mon fils de cette façon là. Aussi intense !
Lorsque je suis arrivée à la mairie, mon fils venait d'y arriver. Il s'est habillé chez son témoin et la mariée chez ma fille.
Lorsqu’il est venu me dire bonjour, j'étais déjà très émue de le voir enfin dans son costume que nous avions choisit ensemble.
Le grand jour était enfin là. Ce moment pour lequel nous nous étions tous préparer pour être les "plus beaux" !
J'avais l'impression d'entendre son cœur battre la chamade lorsqu'il a vu sa dulcinée si belle dans sa jolie robe.
Mon fils devenait un "homme" devant moi. Je l'accompagnais jusqu'à celle pour qui son cœur battait et dont il avait demander en amriage 18 mois plus tôt.
Je n'ai rien contre ou pour le mariage, je ne me suis jamais demander si un jour il se marierai ou pas.
Ce n'était pas essentiel pour moi. Mais l'idée m'avait émue.
Concrétiser aux yeux de tous son amour, je trouve ça beau et romantique.
J'étais lorsqu'il a fallu que je lui mette sa boutonnière de rose blanche à la poche de son costume déjà toute tremblante d'émotion.
Bien entendu il s'en est rendu compte et amusé. Le grand moment de partage pour nous deux commençait !
Surtout ne pas pleuré, ne pas trébucher, ne pas tomber. Rester sure de soi, que personne ne se rende compte de ce stress de bonheur que je ressentais
On nous demande donc de rentré dans la mairie, tout les deux en premier, juste derrière tous les invités excités de nous regarder entrer.
Mon émotion vu mes yeux pétillants étaient déjà palpable, le photographe s'en amusait !
Ma fille qui avait parié déjà 10 fois que j'allais pleurer, ne me quittait pas des yeux, amusée de voir que je puisse avoir autant d'émotion et dont je n'allait pouvoir longtemps le cacher.
A la porte de la mairie, on stoppa notre avancé tout les deux, on étaient tellement heureux que l'on se prêtait au jeu.
Lorsque je déposais mon fils à sa place, je lui demandais de lui faire "mon bisou", le dernier en tant que célibataire,
Il me tendit la joue amusé, il savait que je lui demanderai. Je ne sais pas si il était fier mais il m'a tendu la joue avec plaisir.
Je lui aie fait mon bisou, comme si je ne pourrai peut-être plus jamais vraiment le choyer comme avant, lorsqu'il était petit.
La mariée est arrivée, splendide. Heureuse elle aussi, enfin le jour J était là.
Elle a beaucoup travailler pour organiser son mariage, a penser à tout pour que ce jour, soit leur plus beau jour.
Elle était magnifique mais elle est jolie. Elle est élégante, elle a une certaine classe innée.
La cérémonie a commencer et mon émotion est montée. Doucement mais par accoue !
Mais aucune larme n'a rouler sur mes joues.
Mais j'ai eu la sensation d'avoir mener mon fils au bout de sa vie de "jeune homme".
J'ai réaliser qu'il y a 28 ans, il était encore dans mon ventre, que je lui avais donner la vie, aimer, choyer, disputer pour l'aider à devenir l'homme qu'il était là devant toute cette assemblée qui venait l'accompagner dans son nouveau bonheur.
La journée, la soirée furent magnifique, magique.
On ressentait leur bonheur, tout au plus moi maman d'un de ces jeunes enfants que la vie unissait à jamais.
Tout était parfait ! Comment ne aps être fière de leur parcours respectif ?
Comment ne pas pleuré, ne pas avoir d'émotion, ne pas être heureuse pour eux ?
Le lendemain matin, lorsque je me suis tout à coup réveiller dans mon lit, je pleurais à chaude larmes.
Toutes mes émotions étaient là, elles ressortaient.
Le mariage était beau, il ni a pas eu de couac, pas de tracas, pas de faux pas.
Juste deux êtres heureux de partager leur amour avec nous tous autour d'eux que pour une seule et même chose, leur BONHEUR
3 jours après, les larmes ruisselaient encore sur mes joues de maman heureuse.
Je sais aujourd'hui qu'il faut vivre nos grands moments, ne pas avoir honte de nos émotions.
Tout le monde a vu que j'étais heureuse.
Mais ce qui est important c'est que mes enfants soient aussi heureux toute leur vie que ce jour J
Je n'ai pas la sensation d 'avoir perdu mon fils ou d'avoir une rivale en ma belle-fille.
Elle faisait déjà partie de ma maison. Dans mon cœur elle était déjà ma belle-fille
Voici le poème que je leur aie écrit sur leur carte de félicitations
Vous y voici, Le grand jour !
Ou vous unissez votre Amour
Ce pacte qui vous uni à jamais
Dans vos coeurs pour l'éternité
Je vous souhaite que vos regards pétillants
Vous ayez toute votre vie en vous levant
Que vos années futures soient magiques
Comme cette journée magnifique
Je vous aime très fort mes enfants
Dans mon cœur de maman
Valérie Trierweiler tout le monde en parle nous aussi
L'ex-compagne de François Hollande continue d'être un problème pour Valérie Trierweiler. Une jalousie privée qui complique les rapports politiques. Ce mardi, la nouvelle première dame a annoncé qu'elle soutenait l'opposant de Ségolène Royal pour les législatives.
Posé à côté des journaux, sur la tablette du TGV, le portable vibre. "Bzzzz..." François Hollande, qui est train de travailler le discours qu'il va prononcer dans quelques heures, jette un oeil rapide sur l'écran. Le SMS vient de "Mon amour". Lequel est assis à 50 centimètres de lui. Le candidat replonge dans ses notes. "Mon amour" se penche vers lui, insiste : "Je t'ai envoyé un message", murmure Valérie Trierweiler. Autour d'eux, une dizaine de personnes. Tout le monde regarde ailleurs.
L'atmosphère est électrique. Pour la première fois depuis cinq ans, ce 4 avril, François Hollande retrouve publiquement Ségolène Royal, avec laquelle un meeting est prévu à Rennes. Valérie Trierweiler est à fleur de peau, comme chaque fois qu'il est question de l'ex-compagne de François Hollande - l'entourage du candidat a beau multiplier les allers-retours avec l'équipe de Royal pour que la soirée se passe au mieux, rien ne l'apaise. Au point qu'il est question de supprimer la photo Royal-Hollande, dont les modalités ont été négociées directement entre les deux anciens conjoints...
Ce soir-là, au dernier moment, dans le secret de la loge où elle suit le discours de Royal, Valérie Trierweiler décide d'aller lui serrer la main. Elle a besoin de cette image publique pour faire contrepoids à la réalité des coulisses: tout est soigneusement organisé, lorsque les deux femmes sont ensemble au même endroit, pour qu'elles ne se croisent pas. Elle fait prévenir les photographes, qui s'agglutinent dans les gradins; d'en haut, ils peuvent en effet observer la rangée des personnalités, où l'oratrice ne va pas tarder à s'installer. "Mais pourquoi il y a tous ces photographes?" interroge d'ailleurs Ségolène Royal en s'asseyant.
"Ce qui concerne Ségolène sort du domaine du rationnel"
Quelques instants plus tard, interdite, elle voit la nouvelle compagne de François Hollande s'avancer vers elle, main tendue, dans une nuée de flashs. L'un des clichés, publié dans VSD, saisit cette seconde d'hésitation, cette vertigineuse certitude d'être prise au piège - si elle ne prend pas la main qui s'offre, c'est elle qui est en faute. "C'est la première et la dernière fois que tu fais ça", écrit-elle ensuite, via un SMS, à... Manuel Valls, directeur de la communication de François Hollande. "Je ne suis pas une people, mais une personnalité politique de premier plan. C'était dégradant", confie-t-elle à L'Express.
Ségolène Royal reste, cinq ans après l'annonce de la séparation, l'objet d'une jalousie profonde et irraisonnée de la part de celle qui lui a succédé dans le coeur de François Hollande: "Avec Valérie, tout ce qui concerne Ségolène sort du domaine du rationnel, constate un proche. Il est quasi impossible d'aborder ce sujet devant elle, même sous un angle uniquement politique." C'est plus fort qu'elle.
Selon Le Canard enchaîné du 9 mai, la nouvelle première dame a envoyé un texto à une journaliste de Paris Match qui précisait dans son article que Thomas était le fils aîné du "couple Royal-Hollande" : "De l'ex-couple Royal-Hollande ! A quoi joues-tu ?" Au Times, qui publie le 9 mai une interview d'elle, elle prend le soin de préciser : "La relation [entre François Hollande et Ségolène Royal] a pris fin il y a sept ans et elle est bien terminée, il n'y a plus d'histoire sentimentale entre eux." Elle semble parfois la seule qu'il faille encore convaincre.
L'express