Carla Bruni Sarkosy
Carla Bruni utilise au mieux son statut de Première Dame de France. L'épouse du président de la République s'engage dans de bonnes causes dont la lutte contre le Sida.
Carla Bruni est passée de mannequin à chanteuse puis est devenue la Première Dame de France en épousant Nicolas Sarkozy. Elle reste pourtant discrète et profite de ce nouveau statut pour apporter son aide dans les causes qui lui tiennent à cœur.
Il y a quelques jours, elle s'est rendue au Bénin, en Afrique, dans le cadre d'une intervention du Fonds mondial contre le Sida. Et même si elle aime apporter son aide, Carla Bruni avoue être une femme plutôt réservée. "J’ai toujours vécu comme une ermite. Et cela ne s’arrange pas avec le temps. Je ne suis pas forcément quelqu’un de très sociable. Et en tout cas, je n’ai pas envie d’intervenir sur les sujets d’actualité à tout bout de champ. On me compare souvent à Bernadette Chirac. Mais elle, c’est différent, c’est une femme politique, elle a toujours été élue, ce qui n’est pas mon cas. C’est aussi une femme d’une grande intelligence. Quand je regarde les autres premières dames dans le monde, je n’ai pas l’impression d’être vraiment à part", déclare-t-elle au Parisien.
Ce statut de Première Dame pourrait lui permettre de participer à la vie politique, mais Carla Bruni préfère se consacrer à des causes humanitaires et laisser les grandes décisions à son mari. "La fonction de première dame n’est pas déterminée. Chacun l’incarne comme il veut, comme il peut. Moi, je répugne à m’exprimer quand je suis incompétente ou ignorante. Certains devraient peut-être d’ailleurs suivre mon exemple, cela ferait des vacances à tout le monde. Il me semble que ce qui intéresse les Français, c’est ce que je peux faire pour eux. J’essaie d’être utile, voilà tout", explique-t-elle.
Carla Bruni prévoit d'autres voyages dont un en Inde et l'autre en Haïti pour récolter
Samedi, Carla Bruni était l'invitée du Journal inattendu, émission animée par Harry Roselmack sur RTL. Mais après que le présentateur a tenté de la faire réagir sur la polémique entre Dominique de Villepin et Nicolas Sarkozy au sujet de l'affaire Clearstream, la Première Dame de France a bien failli quitter les studios de la radio.
A peine installée face à Harry Roselmack samedi midi, Carla Bruni s'est sentie piégée par l'animateur, qui n'a, bien sûr, pas pu résister à l'envie de l'interroger sur la bataille à laquelle se livrent son mari et Dominique de Villepin, relaxé jeudi par le Tribunal correctionnel de Paris dans l'affaire Clearstream.
Si à l'antenne, Carla Bruni est restée très cordiale, il en aurait été tout autrement en coulisses, lors de la première coupure publicitaire. "Je reviens d’un voyage en Afrique et la première chose dont vous me parlez, c’est d’un événement qui me met forcément dans l’embarras. Je me sens piégée, j’ai vraiment envie de partir" aurait-elle, d'après Le Parisien, déclaré à l'animateur. Selon Le Point, la Première Dame de France aurait été plus directe et bien moins polie, lançant : "Si on n'arrête pas, je me casse, je me casse".
Tout est finalement rentré dans l'ordre après la pub. Carla Bruni a retrouvé son calme face à un Harry Roselmack qui s'est résigné à aborder des sujets moins fâcheux tels que son action en Afrique pour lutter contre le Sida. Carla Bruni-Sarkozy s'est détendue et serait même restée un long moment dans les studios, bavardant autour d’un buffet avec Harry Roselmack, lui assurant, d'après des propos cités par Le Parisien : "Je n’ai rien contre vous en particulier, mais je regrette que les journalistes ne s’attachent souvent qu’à l’écume des choses". Et de conclure : C’est peut-être pour ça que je me fais si rare".
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